Actualités de l'Urgence - APM

10/09 2024
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHU DE LILLE, CH DE BLOIS, UNEOS (METZ), CHU DE NANTES, CH DE CHALON-SUR-SAÔNE

Le 10 septembre 2024 (APMnews) -

HAUTS-DE-FRANCE: Le CHU de Lille officialise l'acquisition de son IRM 7T

LILLE - Le directeur général du CHU de Lille, Frédéric Boiron, et le président de Siemens Healthineers France, Belgique et Luxembourg Hassan, Safer-Tebbi, ont officialisé lundi l'acquisition d'un premier appareil d'IRM 7 teslas (T), ont-ils annoncé dans un communiqué transmis mardi.

Cette acquisition s'inscrit dans le cadre du projet Arianes visant à mettre en réseau l'ensemble des 26 IRM 3 T des Hauts-de-France autour du futur IRM 7T du CHU de Lille pour optimiser les résultats d'imagerie et mener des projets de recherche en neurologie et psychiatrie (cf dépêche du 17/11/2023 à 18:35).

"Grâce à l’intensité de son champ magnétique, l’IRM 7 T de Siemens Healthineers délivrera des images très précises, qui devraient permettre d’identifier de nouveaux biomarqueurs des maladies neurologiques et psychiatriques, dont l’incidence et la prévalence vont augmenter dans les prochaines années. La base d'images médicales constituée sera un support de recherche inédit pour la mise au point d'algorithmes d'intelligence artificielle. Ces algorithmes pourront ensuite être transposés à d'autres secteurs d'activité", se félicitent les auteurs.

Siemens Healthineers accompagnera les équipes impliquées dans la conception et la réalisation du nouveau bâtiment dédié à l’activité 7T. L'industriel mettra également à disposition un "clinical scientist" auprès des équipes du CHU de Lille et coopérera avec les chercheurs. Dans ce cadre, des outils de R&D et prototypes innovants seront développés, est-il précisé.

CENTRE-VAL-DE-LOIRE: Le CH de Blois dévoile le site de son futur campus universitaire

BLOIS - Le centre hospitalier (CH) de Blois a signé fin août le marché du futur campus universitaire et présenté lundi le site où il sera construit, a-t-il fait valoir sur ses réseaux sociaux.

Ce campus doit réunir à partir de 2026 tous les lieux de formation en santé au sein d'un pôle "connecté, vertueux au plan environnemental et ouvert sur la ville dans un bâtiment unique à proximité de son site principal, mail Pierre Charlot", a expliqué le CH.

Le futur campus du CH de Blois (photo: CH de Blois)
Le futur campus du CH de Blois (photo: CH de Blois)

Le futur bâtiment couvrira plus de 8.000 m² et accueillera les instituts de formation en soins infirmiers (Ifsi), d'aides-soignants (Ifas) et d'ambulanciers (Ifa), le Cesu (centre d'enseignement des soins d'urgence), un laboratoire de simulation, des étudiants de 1er cycle de la faculté de médecine de tours ou encore l'Urc (unité de recherche clinique) et le département de formation continue médicale et paramédicale de l'hôpital blésois.

L'objectif est de développer l'offre de formation en santé dans le département, qui est actuellement dispersée, mais aussi d'accroître cette offre.

Le projet prévoit par exemple l'augmentation du capacitaire des instituts paramédicaux de formation, passé de 500 étudiants en 2019 à 645 en formation initiale en 2024 et avec une projection à 800 étudiants pour 2026, ou encore l'accueil des étudiants de la faculté de médecine de Tours en 1er cycle à Blois.

Le futur campus représente un investissement de près de 26 millions d'euros (M€), soutenu par plusieurs financeurs: le Conseil régional Centre Val-de-Loire (12.6 M€), le conseil départemental du Loir-et-Cher (2 M€), la communauté d'agglomération Agglopolys (1,2 M€) et plusieurs communautés de communes du Loir-et-Cher.

GRAND EST: Le groupe Uneos (Metz) ouvre un second service de soins immédiats non programmés

METZ - Le groupe privé non lucratif Uneos (ex Hôpitaux privés de Metz) a ouvert lundi un second service de soins immédiats non programmés (SINP) au sein de l'hôpital Belle-Isle, a rapporté le groupe dans un communiqué diffusé mardi.

Comme pour le premier SINP ouvert à l'hôpital Robert-Schuman, ce service sera accessible sans rendez-vous du lundi au vendredi, sur une amplitude horaire légèrement plus restreinte cette fois (de 9h à 17h contre 8h-18h à Robert-Schuman).

"Les patients peuvent se présenter pour toutes pathologies en lien avec les spécialités des hôpitaux du groupe Uneos et qui ne relèvent pas d’une urgence vitale", a expliqué Uneos, en ajoutant "que certaines pathologies [n'y seraient] pas prises en charge, notamment en cardiologie, neurologie, gynécologie, pathologies psychiatriques et psychologiques".

Le groupe Uneos rassemble deux établissements hospitaliers messins, les cliniques Robert-Schuman et Belle-Isle, un réseau d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) partenaire (réseau iUNGO), le service d'hospitalisation à domicile de l’agglomération messine (Hadam), deux centres d’imagerie médicale ainsi qu’un service de dialyse partenaire, l’Association Saint-André.

Le premier SINP ouvert à l'hôpital Robert-Schuman accueille en moyenne 60 patients par jours, soit près de 10.000 patients depuis son ouverture en décembre 2023 dont 700 patients hospitalisés par la suite.

PAYS DE LA LOIRE: Signature d'une nouvelle convention santé-police-justice au CHU de Nantes

NANTES - Une nouvelle charte sur la sécurité et la sûreté a été signée vendredi 6 septembre entre le CHU de Nantes et la préfecture de Loire-Atlantique, l'agence régionale de santé (ARS) Pays de la Loire, le tribunal judiciaire de Nantes, et les mairies de Nantes et de Saint-Herblain, a relayé l'établissement dans un communiqué vendredi.

"La nouvelle convention a pour objectif de mettre en place une politique globale de sécurité et de sûreté visant à protéger plus efficacement encore le CHU de Nantes, tant contre les violences au quotidien que contre la menace terroriste", a communiqué l'établissement.

Le document définit les modalités et les champs d’intervention des forces de sécurité au CHU, notamment en cas de prise en charge des "patients sous-main de justice".

Il a été signé 7 ans après une première convention santé-police-justice. Il est "apparu nécessaire d’en dresser un bilan et de l’actualiser", rapporte l'établissement.

Cette nouvelle charte aborde entre autres des questions de prévention de la radicalisation, de prise en charge des patients sous escorte, la sécurisation des sites du CHU de Nantes, ou encore la question des infractions au sein de l'établissement.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTÉ: Le CH de Chalon-sur-Saône précurseur sur la télé-expertise en dermatologie

CHALON-SUR-SAÔNE (Saône-et-Loire) - L'agence régionale de santé (ARS) Bourgogne Franche-Comté a mis en exergue le rôle précurseur du centre de ressources en télédermatologie installé au centre hospitalier (CH) William-Morey de Chalon-sur-Saône, dans un communiqué diffusé jeudi.

"Le projet est né il y a 10 ans, dans le but de favoriser l'accès à la dermatologie via la télémédecine, en particulier pour des patients de zones fragiles et éloignées, confrontés bien souvent à des retards de prise en charge voire des renoncements aux soins", a recontextualisé l'ARS dans son communiqué.

Le centre de ressource créé à Chalon permet à un médecin généraliste "face à une lésion suspecte" d'obtenir un acte de télé-expertise en vue d’obtenir un avis d'expert spécialiste. "Après un court questionnaire concernant le patient (antécédents, traitements en cours, allergies…), le généraliste joint des photographies de la lésion à expertiser à l’équipe de dermatologie du CH de Chalon (envoi sécurisé via la plateforme régionale de télémédecine). Il reçoit ensuite un avis quant à la conduite à tenir pour son patient".

Parti d'une dizaine de sites "demandeurs d'avis" en Saône-et-Loire et dans la Nièvre, le centre de ressource en télédermatologie compte aujourd'hui "80 sites actifs sur ces deux départements, représentant 4.000 actes en 2023", a souligné l'agence.

Cet essor a été permis par le relai opérationnel du Groupement régional d'appui au développement de la e-santé (GRADeS) d'une part, et par le soutient apportée par la région Bourgogne Franche-Comté aux sites demandeurs, "notamment en termes de matériels connectés via son Plan de Relance et sa délégation à la transformation numérique".

"Grâce à ce double engagement, l'activité de télé-expertise s'inscrit dans une croissance exponentielle en région", s'est félicitée l'ARS citant "déjà plus de 17.000 actes enregistrés en 2024 sur la plateforme régionale TELMI, le service public mis à disposition des professionnels de santé de la région (près de 20.000 actes en 2023, contre environ 12.600 en 2021); plus de 600 sites demandeurs, 100 experts et non moins de 20 spécialités médicales déployées, dont la dermatologie, activité la plus pratiquée avant la neurologie et la cardiologie."

Le centre de ressource créé à Chalon a d'ailleurs été dupliqué à quatre reprises -aux CHU de Besançon et Dijon, à l'Hôpital Nord Franche-Comté (HNFC) et au Groupement hospitalier de Haute-Saône (GH70)-, pour un total de 280 sites demandeurs à l'échelle régionale.

/bd-mg-gl-al/sl/APMnews

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Le 10 septembre 2024 (APMnews) -

HAUTS-DE-FRANCE: Le CHU de Lille officialise l'acquisition de son IRM 7T

LILLE - Le directeur général du CHU de Lille, Frédéric Boiron, et le président de Siemens Healthineers France, Belgique et Luxembourg Hassan, Safer-Tebbi, ont officialisé lundi l'acquisition d'un premier appareil d'IRM 7 teslas (T), ont-ils annoncé dans un communiqué transmis mardi.

Cette acquisition s'inscrit dans le cadre du projet Arianes visant à mettre en réseau l'ensemble des 26 IRM 3 T des Hauts-de-France autour du futur IRM 7T du CHU de Lille pour optimiser les résultats d'imagerie et mener des projets de recherche en neurologie et psychiatrie (cf dépêche du 17/11/2023 à 18:35).

"Grâce à l’intensité de son champ magnétique, l’IRM 7 T de Siemens Healthineers délivrera des images très précises, qui devraient permettre d’identifier de nouveaux biomarqueurs des maladies neurologiques et psychiatriques, dont l’incidence et la prévalence vont augmenter dans les prochaines années. La base d'images médicales constituée sera un support de recherche inédit pour la mise au point d'algorithmes d'intelligence artificielle. Ces algorithmes pourront ensuite être transposés à d'autres secteurs d'activité", se félicitent les auteurs.

Siemens Healthineers accompagnera les équipes impliquées dans la conception et la réalisation du nouveau bâtiment dédié à l’activité 7T. L'industriel mettra également à disposition un "clinical scientist" auprès des équipes du CHU de Lille et coopérera avec les chercheurs. Dans ce cadre, des outils de R&D et prototypes innovants seront développés, est-il précisé.

CENTRE-VAL-DE-LOIRE: Le CH de Blois dévoile le site de son futur campus universitaire

BLOIS - Le centre hospitalier (CH) de Blois a signé fin août le marché du futur campus universitaire et présenté lundi le site où il sera construit, a-t-il fait valoir sur ses réseaux sociaux.

Ce campus doit réunir à partir de 2026 tous les lieux de formation en santé au sein d'un pôle "connecté, vertueux au plan environnemental et ouvert sur la ville dans un bâtiment unique à proximité de son site principal, mail Pierre Charlot", a expliqué le CH.

Le futur campus du CH de Blois (photo: CH de Blois)
Le futur campus du CH de Blois (photo: CH de Blois)

Le futur bâtiment couvrira plus de 8.000 m² et accueillera les instituts de formation en soins infirmiers (Ifsi), d'aides-soignants (Ifas) et d'ambulanciers (Ifa), le Cesu (centre d'enseignement des soins d'urgence), un laboratoire de simulation, des étudiants de 1er cycle de la faculté de médecine de tours ou encore l'Urc (unité de recherche clinique) et le département de formation continue médicale et paramédicale de l'hôpital blésois.

L'objectif est de développer l'offre de formation en santé dans le département, qui est actuellement dispersée, mais aussi d'accroître cette offre.

Le projet prévoit par exemple l'augmentation du capacitaire des instituts paramédicaux de formation, passé de 500 étudiants en 2019 à 645 en formation initiale en 2024 et avec une projection à 800 étudiants pour 2026, ou encore l'accueil des étudiants de la faculté de médecine de Tours en 1er cycle à Blois.

Le futur campus représente un investissement de près de 26 millions d'euros (M€), soutenu par plusieurs financeurs: le Conseil régional Centre Val-de-Loire (12.6 M€), le conseil départemental du Loir-et-Cher (2 M€), la communauté d'agglomération Agglopolys (1,2 M€) et plusieurs communautés de communes du Loir-et-Cher.

GRAND EST: Le groupe Uneos (Metz) ouvre un second service de soins immédiats non programmés

METZ - Le groupe privé non lucratif Uneos (ex Hôpitaux privés de Metz) a ouvert lundi un second service de soins immédiats non programmés (SINP) au sein de l'hôpital Belle-Isle, a rapporté le groupe dans un communiqué diffusé mardi.

Comme pour le premier SINP ouvert à l'hôpital Robert-Schuman, ce service sera accessible sans rendez-vous du lundi au vendredi, sur une amplitude horaire légèrement plus restreinte cette fois (de 9h à 17h contre 8h-18h à Robert-Schuman).

"Les patients peuvent se présenter pour toutes pathologies en lien avec les spécialités des hôpitaux du groupe Uneos et qui ne relèvent pas d’une urgence vitale", a expliqué Uneos, en ajoutant "que certaines pathologies [n'y seraient] pas prises en charge, notamment en cardiologie, neurologie, gynécologie, pathologies psychiatriques et psychologiques".

Le groupe Uneos rassemble deux établissements hospitaliers messins, les cliniques Robert-Schuman et Belle-Isle, un réseau d'établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) partenaire (réseau iUNGO), le service d'hospitalisation à domicile de l’agglomération messine (Hadam), deux centres d’imagerie médicale ainsi qu’un service de dialyse partenaire, l’Association Saint-André.

Le premier SINP ouvert à l'hôpital Robert-Schuman accueille en moyenne 60 patients par jours, soit près de 10.000 patients depuis son ouverture en décembre 2023 dont 700 patients hospitalisés par la suite.

PAYS DE LA LOIRE: Signature d'une nouvelle convention santé-police-justice au CHU de Nantes

NANTES - Une nouvelle charte sur la sécurité et la sûreté a été signée vendredi 6 septembre entre le CHU de Nantes et la préfecture de Loire-Atlantique, l'agence régionale de santé (ARS) Pays de la Loire, le tribunal judiciaire de Nantes, et les mairies de Nantes et de Saint-Herblain, a relayé l'établissement dans un communiqué vendredi.

"La nouvelle convention a pour objectif de mettre en place une politique globale de sécurité et de sûreté visant à protéger plus efficacement encore le CHU de Nantes, tant contre les violences au quotidien que contre la menace terroriste", a communiqué l'établissement.

Le document définit les modalités et les champs d’intervention des forces de sécurité au CHU, notamment en cas de prise en charge des "patients sous-main de justice".

Il a été signé 7 ans après une première convention santé-police-justice. Il est "apparu nécessaire d’en dresser un bilan et de l’actualiser", rapporte l'établissement.

Cette nouvelle charte aborde entre autres des questions de prévention de la radicalisation, de prise en charge des patients sous escorte, la sécurisation des sites du CHU de Nantes, ou encore la question des infractions au sein de l'établissement.

BOURGOGNE-FRANCHE-COMTÉ: Le CH de Chalon-sur-Saône précurseur sur la télé-expertise en dermatologie

CHALON-SUR-SAÔNE (Saône-et-Loire) - L'agence régionale de santé (ARS) Bourgogne Franche-Comté a mis en exergue le rôle précurseur du centre de ressources en télédermatologie installé au centre hospitalier (CH) William-Morey de Chalon-sur-Saône, dans un communiqué diffusé jeudi.

"Le projet est né il y a 10 ans, dans le but de favoriser l'accès à la dermatologie via la télémédecine, en particulier pour des patients de zones fragiles et éloignées, confrontés bien souvent à des retards de prise en charge voire des renoncements aux soins", a recontextualisé l'ARS dans son communiqué.

Le centre de ressource créé à Chalon permet à un médecin généraliste "face à une lésion suspecte" d'obtenir un acte de télé-expertise en vue d’obtenir un avis d'expert spécialiste. "Après un court questionnaire concernant le patient (antécédents, traitements en cours, allergies…), le généraliste joint des photographies de la lésion à expertiser à l’équipe de dermatologie du CH de Chalon (envoi sécurisé via la plateforme régionale de télémédecine). Il reçoit ensuite un avis quant à la conduite à tenir pour son patient".

Parti d'une dizaine de sites "demandeurs d'avis" en Saône-et-Loire et dans la Nièvre, le centre de ressource en télédermatologie compte aujourd'hui "80 sites actifs sur ces deux départements, représentant 4.000 actes en 2023", a souligné l'agence.

Cet essor a été permis par le relai opérationnel du Groupement régional d'appui au développement de la e-santé (GRADeS) d'une part, et par le soutient apportée par la région Bourgogne Franche-Comté aux sites demandeurs, "notamment en termes de matériels connectés via son Plan de Relance et sa délégation à la transformation numérique".

"Grâce à ce double engagement, l'activité de télé-expertise s'inscrit dans une croissance exponentielle en région", s'est félicitée l'ARS citant "déjà plus de 17.000 actes enregistrés en 2024 sur la plateforme régionale TELMI, le service public mis à disposition des professionnels de santé de la région (près de 20.000 actes en 2023, contre environ 12.600 en 2021); plus de 600 sites demandeurs, 100 experts et non moins de 20 spécialités médicales déployées, dont la dermatologie, activité la plus pratiquée avant la neurologie et la cardiologie."

Le centre de ressource créé à Chalon a d'ailleurs été dupliqué à quatre reprises -aux CHU de Besançon et Dijon, à l'Hôpital Nord Franche-Comté (HNFC) et au Groupement hospitalier de Haute-Saône (GH70)-, pour un total de 280 sites demandeurs à l'échelle régionale.

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