Actualités de l'Urgence - APM

03/07 2024
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: CHS SAINT-CYR AU MONT D'OR, CHU DE BORDEAUX, CH DE CALAIS, PÔLE ILE-DE-FRANCE SUD-EST DE RAMSAY SANTÉ, CH SUD FRANCILIEN ET CH D'ARPAJON (ESSONNE), CLINIQUE SAINTE-ANNE (STRASBOURG), CHU DE NÎMES

Le 3 juillet 2024 (APMnews) -

AUVERGNE-RHONE-ALPES: Les grands axes du nouveau projet médico-soignant du CHS Saint-Cyr au Mont-d'Or

LYON - La direction du centre hospitalier en psychiatrie (CHS) Saint-Cyr au Mont d'Or a détaillé les grands axes de son nouveau projet médico-soignant (2024-2028), dans un communiqué diffusé mardi.

Secoué par une très grave crise de gouvernance en 2022, le CH de Saint-Cyr au Mont-d'Or a été placé sous administration provisoire pendant plusieurs mois (cf dépêche du 07/11/2022 à 17:00 et dépêche du 15/05/2023 à 11:45) avant l'arrivée d'une nouvelle équipe de direction en janvier 2024 (cf dépêche du 31/01/2024 à 18:22).

Depuis son arrivée, la nouvelle directrice Anaïs Jehanno planche sur la définition d'un nouveau projet médico-soignant, dont la mise en œuvre opérationnelle débutera à compter de septembre.

Ce nouveau projet se décline autour de trois axes "prioritaires", a-t-elle affirmé dans le communiqué: "intensifier la qualité des soins et du rétablissement du patient", "faciliter l’accès aux soins et limiter le recours à l’hospitalisation" et "organiser des soins spécialisés s’incluant dans des filières de prise en charge".

"Le projet a remobilisé les valeurs propres à l’établissement", a rappelé Anaïs Jehanno, citant notamment "le respect et [la] promotion du droit des usagers", "la diminution du recours à l’isolement et à la contention" et la "promotion de la recherche".

Il donne aussi au rétablissement "une place centrale" afin de" pouvoir permettre à tous les usagers d’en bénéficier sur l’ensemble du territoire et vise à renforcer la place du savoir expérientiel de ces derniers", a-t-elle poursuivi.

"Ouvert sur le territoire", le projet vise enfin à "renforcer les partenariats" et à accompagner la "transformation de l'offre de soins", notamment par le développement de nouveaux dispositifs ambulatoires "d'aller vers" ou l'augmentation des effectifs d'infirmiers en pratique avancée (IPA).

NOUVELLE-AQUITAINE: Hausse du déficit du CHU de Bordeaux en 2023

BORDEAUX - Le déficit du CHU de Bordeaux est passé de 11,7 à 25,1 millions d'euros en 2023 sur son budget principal, selon le dernier rapport d'activité transmis par l'établissement, mardi.

Les dépenses d'exploitation du budget principal du CHU (3.064 lits et places) ont atteint 1,523 milliards d'euros (Md€) pour 1,498 Md€ de recettes en 2023. La dette financière a quant à elle reculé de 2,9% à 171 M€.

Le CHU a investi 45,7 M€ en 2023 (+7% en un an), dont 45% pour les travaux et 31% pour les équipements médicaux. A noter que 5 M€ ont été investis pour le groupement hospitalier de territoire (GHT) Alliance de Gironde, contre 4,2 M€ en 2022.

L'activité a crû de 3,6% à 286.333 séjours en 2023, tandis que le nombre de passages aux urgences a reculé, passant de 118.017 en 2022 à 110.208 en 2023, soit une baisse de 6,6%.

HAUTS-DE-FRANCE: Le CH de Calais ouvre un CeGIDD dans l'agglomération dunkerquoise

CALAIS (Pas-de-Calais), Dunkerque et Grande-Synthe (Nord) - Le centre hospitalier (CH) de Calais annonce ouvrir un centre gratuit d’information de dépistage et de diagnostic (Cegidd) sur deux sites, à Dunkerque et Grande-Synthe à compter de jeudi, dans un communiqué daté de lundi.

"Le CH de Calais développe depuis quelques années une expertise en santé publique autour du Cegidd, du traitement de la tuberculose, de la vaccination et de la prise en charge des populations en situation de précarité. L’offre de soins se décline ainsi: PrEP (prophylaxie pré-exposition- traitement préventif du VIH), TPE (traitement postexposition), traitement des IST (infections sexuellement transmissibles) et vaccinations (VHB, VHA, HPV, variole du singe)", détaille-t-il.

Ce déploiement se fait dans le cadre d'une habilitation par l'agence régionale de santé (ARS) Hauts-de-France et en partenariat avec le CH de Dunkerque.

ILE-DE-FRANCE: Ramsay Santé nomme Abdel Mahammed à la direction du pôle Ile-de-France Sud-Est

PARIS - Ramsay Santé a annoncé la nomination d'Abdel Mahammed au poste de directeur du pôle territorial Ile-de-France Sud-Est, mercredi dans un communiqué.

En tant que directeur du pôle territorial Ile-de-France Sud-Est, Abdel Mahammed aura la responsabilité de "superviser la mise en application du projet médical de son pôle dans les établissements qui le composent", précise Ramsay Santé.

Le pôle Ile-de-France Sud-Est regroupe l'hôpital privé Claude-Galien à Quincy-sous-Sénart (Essonne), dont Abdel Mahammed prend la direction, la clinique du Mousseau à Evry-Courcouronnes (Essonne) et la clinique de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne).

Titulaire d'un diplôme d'études supérieures en management de l'information obtenu à l'université de technologie de Compiègne (Oise), Abdel Mahammed a débuté sa carrière en tant que ressources manager/chef de projet chez Suptec Ingénierie. Il est ensuite devenu responsable de l'exploitation France chez Michelin puis responsable des systèmes d'information dans le groupe Hexagone.

Il a rejoint Ramsay Santé en 2006 en tant que directeur de projet des systèmes d'information. A partir de 2010, il a pris la tête de la direction Assistance à maîtrise d'ouvrage (AMOA).

En avril 2017, Abdel Mahammed a intégré le programme "Vivier" du groupe au sein de la clinique Jouvenet à Paris, en vue de son évolution vers le poste de directeur d'établissement de la clinique Maussins-Nollet (Paris). Fin juillet 2020, il a été nommé directeur de l'hôpital privé Paul d'Egine à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne).

Abdel Mahammed a été nommé directeur du pôle Ile-de-France Sud-Est du groupe Ramsay Santé et de l'hôpital privé Claude-Galien le 22 avril.

Il succède à ce poste à Romain Lacaux, devenu directeur du pôle Lyon.

ILE-DE-FRANCE: Le CH Sud Francilien et l'hôpital d'Arpajon renforcent leur démarche de "jardins de soins et de santé"

CORBEIL-ESSONNES, ARPAJON (ESSONNE) - Le CH Sud Francilien et l'hôpital d'Arpajon, en direction commune, ont signé une convention de coopération avec le domaine de Chaumont-sur-Loire pour développer leur démarche de "jardins de soins et de santé", ont-ils fait savoir mercredi dans un communiqué.

"Avec une cinquantaine de membres du personnel formés et plus d'une centaine d'ateliers animés auprès des patients des deux établissements, le CH Sud Francilien et le CH d'Arpajon "s'investissent depuis 2020 dans le développement des 'jardins de soins et de santé'", soulignent-ils. Ils encouragent ainsi les médiations thérapeutiques "autour de la nature avec l'appui d'un jardinier formé à l'hortithérapie".

Depuis le 1er juillet, cette démarche est "consolidée par un partenariat avec le Domaine de Chaumont-sur-Loire" (propriété de la région Centre-Val de Loire, 32 hectares dans le Loir-et-Cher). Celui-ci porte principalement sur "le soutien à la formation, l'accompagnement des projets et l'observation de l'apport thérapeutique des 'jardins de soins et de santé' afin de le documenter".

Dans cette perspective, un comité scientifique, "associant professionnels de santé et experts de Chaumont-sur-Loire, a été créé pour suivre et évaluer la portée des ateliers proposés (notamment sur les patients les plus fragiles, âgés ou pris en charge dans le domaine de la santé mentale)".

Ce partenariat vise également la poursuite des actions de formation animées par des professionnels de Chaumont-sur-Loire "dans le plan de développement des compétences hospitalier". "A ce jour, une formation annuelle est proposée au personnel des deux établissements pour préparer les porteurs de projet et pour promouvoir les bonnes pratiques dans la création d'un jardin de soins", expliquent les deux établissements.

Un membre de l'équipe hospitalière des espaces verts est chargé de la médiation thérapeutique assurée autour de ces jardins. Il prépare actuellement le diplôme de sociophytologie créé par le Domaine de Chaumont-sur-Loire, précisent-ils.

Ce partenariat permet également de "faciliter l'accès au Domaine de Chaumont-sur-Loire pour les membres du personnel impliqués dans un jardin de soins. Une quinzaine d'entrées gratuites seront délivrées chaque année par le domaine aux deux établissements de santé".

GRAND EST: Strasbourg: la clinique Sainte-Anne se dote d'un Cybernife*

STRASBOURG - Le Groupe hospitalier Saint-Vincent, établissement de la Fondation Vincent de Paul, accueille à la clinique Sainte-Anne à Strasbourg un appareil de radiothérapie robotique Cyberknife S7* (Accuray) au sein d'un nouveau bâtiment en extension de son centre de radiothérapie, a-t-il annoncé dans un communiqué mercredi.

"Ce projet ambitieux a nécessité des investissements d’une dizaine de millions d’euros", indique le groupe.

L'appareil, "le premier CyberKnife* d'Alsace", a été installé fin février et les premiers patients on été traités en juin.

Ce modèle "offre une haute précision qui peut être utilisée pour différents types de cancers à un stade précoce ou métastatique, au niveau de toutes les parties du corps. Ce robot permet de traiter les localisations non accessibles à la radiothérapie standard comme les tumeurs mobiles des poumons, ou les métastases cérébrales. Grâce à l'intelligence artificielle, la machine est capable de s'adapter en temps réel", explique le groupe.

Aucun dispositif invasif n'est requis pour immobiliser la tête, ni aucun cadre corporel et le traitement se déroule sur seulement trois à cinq sessions.

Ce CyberKnife* de dernière génération vient en complément de trois machines de radiothérapie conventionnelle de dernière génération. L'équipe de radiothérapie a été élargie et comptera bientôt 6 radiothérapeutes oncologues, 5 physiciens et 25 manipulateurs.

La clinique Sainte-Anne apporte une offre globale en cancérologie avec un service d'hospitalisation
de 44 lits, un hôpital de jour où près de 13.000 séances de chimiothérapies sont délivrées par an, un service de médecine nucléaire avec un TEP-Scan, des soins de support et des lits identifiés soins palliatifs.

OCCITANIE: Deux nouveaux TEP-Scan livrés au CHU de Nîmes

NIMES - Le CHU de Nîmes a reçu deux nouveaux appareils de tomographie par émission de positons couplés à un scanner (TEP-Scan), au sein de l'institut de cancérologie du Gard (ICG), a-t-il annoncé fin juin dans un communiqué

Ces TEP-Scan Omni Legend* (GE Heathcare) représentent un investissement total de 6 millions d'euros. Le premier appareil est déjà en fonction tandis que le second sera mis en service en octobre.

Ces équipements doivent permettre "d'améliorer la qualité des soins tout en réduisant le temps d'examen", est-il précisé.

Leurs performances ont été analysées sur trois principaux axes: réduction de la dose injectée au patient, diminution du temps d'acquisition et amélioration de la qualité image, explique le CHU.

"L'évolution des détecteurs avec un traitement du signal tout numérique et l'ajout d'intelligence artificielle permettent d'atteindre ces objectifs: réduction de 50% de la dose de radiotraceur injectée, un temps d'acquisition de l'ordre de 8 minutes et une qualité image exceptionnelle", est-il détaillé.

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Le 3 juillet 2024 (APMnews) -

AUVERGNE-RHONE-ALPES: Les grands axes du nouveau projet médico-soignant du CHS Saint-Cyr au Mont-d'Or

LYON - La direction du centre hospitalier en psychiatrie (CHS) Saint-Cyr au Mont d'Or a détaillé les grands axes de son nouveau projet médico-soignant (2024-2028), dans un communiqué diffusé mardi.

Secoué par une très grave crise de gouvernance en 2022, le CH de Saint-Cyr au Mont-d'Or a été placé sous administration provisoire pendant plusieurs mois (cf dépêche du 07/11/2022 à 17:00 et dépêche du 15/05/2023 à 11:45) avant l'arrivée d'une nouvelle équipe de direction en janvier 2024 (cf dépêche du 31/01/2024 à 18:22).

Depuis son arrivée, la nouvelle directrice Anaïs Jehanno planche sur la définition d'un nouveau projet médico-soignant, dont la mise en œuvre opérationnelle débutera à compter de septembre.

Ce nouveau projet se décline autour de trois axes "prioritaires", a-t-elle affirmé dans le communiqué: "intensifier la qualité des soins et du rétablissement du patient", "faciliter l’accès aux soins et limiter le recours à l’hospitalisation" et "organiser des soins spécialisés s’incluant dans des filières de prise en charge".

"Le projet a remobilisé les valeurs propres à l’établissement", a rappelé Anaïs Jehanno, citant notamment "le respect et [la] promotion du droit des usagers", "la diminution du recours à l’isolement et à la contention" et la "promotion de la recherche".

Il donne aussi au rétablissement "une place centrale" afin de" pouvoir permettre à tous les usagers d’en bénéficier sur l’ensemble du territoire et vise à renforcer la place du savoir expérientiel de ces derniers", a-t-elle poursuivi.

"Ouvert sur le territoire", le projet vise enfin à "renforcer les partenariats" et à accompagner la "transformation de l'offre de soins", notamment par le développement de nouveaux dispositifs ambulatoires "d'aller vers" ou l'augmentation des effectifs d'infirmiers en pratique avancée (IPA).

NOUVELLE-AQUITAINE: Hausse du déficit du CHU de Bordeaux en 2023

BORDEAUX - Le déficit du CHU de Bordeaux est passé de 11,7 à 25,1 millions d'euros en 2023 sur son budget principal, selon le dernier rapport d'activité transmis par l'établissement, mardi.

Les dépenses d'exploitation du budget principal du CHU (3.064 lits et places) ont atteint 1,523 milliards d'euros (Md€) pour 1,498 Md€ de recettes en 2023. La dette financière a quant à elle reculé de 2,9% à 171 M€.

Le CHU a investi 45,7 M€ en 2023 (+7% en un an), dont 45% pour les travaux et 31% pour les équipements médicaux. A noter que 5 M€ ont été investis pour le groupement hospitalier de territoire (GHT) Alliance de Gironde, contre 4,2 M€ en 2022.

L'activité a crû de 3,6% à 286.333 séjours en 2023, tandis que le nombre de passages aux urgences a reculé, passant de 118.017 en 2022 à 110.208 en 2023, soit une baisse de 6,6%.

HAUTS-DE-FRANCE: Le CH de Calais ouvre un CeGIDD dans l'agglomération dunkerquoise

CALAIS (Pas-de-Calais), Dunkerque et Grande-Synthe (Nord) - Le centre hospitalier (CH) de Calais annonce ouvrir un centre gratuit d’information de dépistage et de diagnostic (Cegidd) sur deux sites, à Dunkerque et Grande-Synthe à compter de jeudi, dans un communiqué daté de lundi.

"Le CH de Calais développe depuis quelques années une expertise en santé publique autour du Cegidd, du traitement de la tuberculose, de la vaccination et de la prise en charge des populations en situation de précarité. L’offre de soins se décline ainsi: PrEP (prophylaxie pré-exposition- traitement préventif du VIH), TPE (traitement postexposition), traitement des IST (infections sexuellement transmissibles) et vaccinations (VHB, VHA, HPV, variole du singe)", détaille-t-il.

Ce déploiement se fait dans le cadre d'une habilitation par l'agence régionale de santé (ARS) Hauts-de-France et en partenariat avec le CH de Dunkerque.

ILE-DE-FRANCE: Ramsay Santé nomme Abdel Mahammed à la direction du pôle Ile-de-France Sud-Est

PARIS - Ramsay Santé a annoncé la nomination d'Abdel Mahammed au poste de directeur du pôle territorial Ile-de-France Sud-Est, mercredi dans un communiqué.

En tant que directeur du pôle territorial Ile-de-France Sud-Est, Abdel Mahammed aura la responsabilité de "superviser la mise en application du projet médical de son pôle dans les établissements qui le composent", précise Ramsay Santé.

Le pôle Ile-de-France Sud-Est regroupe l'hôpital privé Claude-Galien à Quincy-sous-Sénart (Essonne), dont Abdel Mahammed prend la direction, la clinique du Mousseau à Evry-Courcouronnes (Essonne) et la clinique de Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne).

Titulaire d'un diplôme d'études supérieures en management de l'information obtenu à l'université de technologie de Compiègne (Oise), Abdel Mahammed a débuté sa carrière en tant que ressources manager/chef de projet chez Suptec Ingénierie. Il est ensuite devenu responsable de l'exploitation France chez Michelin puis responsable des systèmes d'information dans le groupe Hexagone.

Il a rejoint Ramsay Santé en 2006 en tant que directeur de projet des systèmes d'information. A partir de 2010, il a pris la tête de la direction Assistance à maîtrise d'ouvrage (AMOA).

En avril 2017, Abdel Mahammed a intégré le programme "Vivier" du groupe au sein de la clinique Jouvenet à Paris, en vue de son évolution vers le poste de directeur d'établissement de la clinique Maussins-Nollet (Paris). Fin juillet 2020, il a été nommé directeur de l'hôpital privé Paul d'Egine à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne).

Abdel Mahammed a été nommé directeur du pôle Ile-de-France Sud-Est du groupe Ramsay Santé et de l'hôpital privé Claude-Galien le 22 avril.

Il succède à ce poste à Romain Lacaux, devenu directeur du pôle Lyon.

ILE-DE-FRANCE: Le CH Sud Francilien et l'hôpital d'Arpajon renforcent leur démarche de "jardins de soins et de santé"

CORBEIL-ESSONNES, ARPAJON (ESSONNE) - Le CH Sud Francilien et l'hôpital d'Arpajon, en direction commune, ont signé une convention de coopération avec le domaine de Chaumont-sur-Loire pour développer leur démarche de "jardins de soins et de santé", ont-ils fait savoir mercredi dans un communiqué.

"Avec une cinquantaine de membres du personnel formés et plus d'une centaine d'ateliers animés auprès des patients des deux établissements, le CH Sud Francilien et le CH d'Arpajon "s'investissent depuis 2020 dans le développement des 'jardins de soins et de santé'", soulignent-ils. Ils encouragent ainsi les médiations thérapeutiques "autour de la nature avec l'appui d'un jardinier formé à l'hortithérapie".

Depuis le 1er juillet, cette démarche est "consolidée par un partenariat avec le Domaine de Chaumont-sur-Loire" (propriété de la région Centre-Val de Loire, 32 hectares dans le Loir-et-Cher). Celui-ci porte principalement sur "le soutien à la formation, l'accompagnement des projets et l'observation de l'apport thérapeutique des 'jardins de soins et de santé' afin de le documenter".

Dans cette perspective, un comité scientifique, "associant professionnels de santé et experts de Chaumont-sur-Loire, a été créé pour suivre et évaluer la portée des ateliers proposés (notamment sur les patients les plus fragiles, âgés ou pris en charge dans le domaine de la santé mentale)".

Ce partenariat vise également la poursuite des actions de formation animées par des professionnels de Chaumont-sur-Loire "dans le plan de développement des compétences hospitalier". "A ce jour, une formation annuelle est proposée au personnel des deux établissements pour préparer les porteurs de projet et pour promouvoir les bonnes pratiques dans la création d'un jardin de soins", expliquent les deux établissements.

Un membre de l'équipe hospitalière des espaces verts est chargé de la médiation thérapeutique assurée autour de ces jardins. Il prépare actuellement le diplôme de sociophytologie créé par le Domaine de Chaumont-sur-Loire, précisent-ils.

Ce partenariat permet également de "faciliter l'accès au Domaine de Chaumont-sur-Loire pour les membres du personnel impliqués dans un jardin de soins. Une quinzaine d'entrées gratuites seront délivrées chaque année par le domaine aux deux établissements de santé".

GRAND EST: Strasbourg: la clinique Sainte-Anne se dote d'un Cybernife*

STRASBOURG - Le Groupe hospitalier Saint-Vincent, établissement de la Fondation Vincent de Paul, accueille à la clinique Sainte-Anne à Strasbourg un appareil de radiothérapie robotique Cyberknife S7* (Accuray) au sein d'un nouveau bâtiment en extension de son centre de radiothérapie, a-t-il annoncé dans un communiqué mercredi.

"Ce projet ambitieux a nécessité des investissements d’une dizaine de millions d’euros", indique le groupe.

L'appareil, "le premier CyberKnife* d'Alsace", a été installé fin février et les premiers patients on été traités en juin.

Ce modèle "offre une haute précision qui peut être utilisée pour différents types de cancers à un stade précoce ou métastatique, au niveau de toutes les parties du corps. Ce robot permet de traiter les localisations non accessibles à la radiothérapie standard comme les tumeurs mobiles des poumons, ou les métastases cérébrales. Grâce à l'intelligence artificielle, la machine est capable de s'adapter en temps réel", explique le groupe.

Aucun dispositif invasif n'est requis pour immobiliser la tête, ni aucun cadre corporel et le traitement se déroule sur seulement trois à cinq sessions.

Ce CyberKnife* de dernière génération vient en complément de trois machines de radiothérapie conventionnelle de dernière génération. L'équipe de radiothérapie a été élargie et comptera bientôt 6 radiothérapeutes oncologues, 5 physiciens et 25 manipulateurs.

La clinique Sainte-Anne apporte une offre globale en cancérologie avec un service d'hospitalisation
de 44 lits, un hôpital de jour où près de 13.000 séances de chimiothérapies sont délivrées par an, un service de médecine nucléaire avec un TEP-Scan, des soins de support et des lits identifiés soins palliatifs.

OCCITANIE: Deux nouveaux TEP-Scan livrés au CHU de Nîmes

NIMES - Le CHU de Nîmes a reçu deux nouveaux appareils de tomographie par émission de positons couplés à un scanner (TEP-Scan), au sein de l'institut de cancérologie du Gard (ICG), a-t-il annoncé fin juin dans un communiqué

Ces TEP-Scan Omni Legend* (GE Heathcare) représentent un investissement total de 6 millions d'euros. Le premier appareil est déjà en fonction tandis que le second sera mis en service en octobre.

Ces équipements doivent permettre "d'améliorer la qualité des soins tout en réduisant le temps d'examen", est-il précisé.

Leurs performances ont été analysées sur trois principaux axes: réduction de la dose injectée au patient, diminution du temps d'acquisition et amélioration de la qualité image, explique le CHU.

"L'évolution des détecteurs avec un traitement du signal tout numérique et l'ajout d'intelligence artificielle permettent d'atteindre ces objectifs: réduction de 50% de la dose de radiotraceur injectée, un temps d'acquisition de l'ordre de 8 minutes et une qualité image exceptionnelle", est-il détaillé.

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