Actualités de l'Urgence - APM

16/05 2024
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DANS LA VIE DES ÉTABLISSEMENTS: HÔPITAL PRIVÉ D'EVRY (ESSONNE), CHU DE NÎMES, INSTITUT DU CANCER DE MONTPELLIER (ICM), HÔPITAL FOCH (HAUTS-DE-SEINE)

Le 16 mai 2024 (APMnews) -

ILE-DE-FRANCE: Frédéric Brocard nommé directeur de l'Hôpital privé d'Evry

EVRY - Frédéric Brocard a été nommé directeur de l'hôpital privé d'Evry, a annoncé mardi le groupe Almaviva Santé dans un communiqué.

Il était entré en 2021 chez Almaviva Santé comme directeur des opérations de la Clinique Turin et a pris ses nouvelles fonctions comme directeur de l'Hôpital privé d'Evry en avril 2024.

Frédéric Brocard "travaille depuis presque 30 ans dans le secteur de la santé", souligne le groupe. En 1995, il a été affecté à l'administration de l'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce (Paris Ve) et est devenu en 1997 attaché de direction à la clinique Arago (Paris XIVe).

Puis il a été successivement attaché de direction et responsable administratif chargé de projets transversaux (parcours patients, projets innovants, digitalisation, offre hôtelière, implémentation de nouvelles technologies, …) pour "différents groupes de santé parisiens", selon le communiqué.

Il succède à Melvina Jabert (cf dépêche du 22/10/2019 à 15:09), devenue en mars directrice déléguée aux opérations au sein du groupe Elsan, selon son profil LinkedIn.

L'Hôpital privé d'Evry est composé de la clinique de l'Essonne et du centre de rééducation fonctionnelle Champs Elysées.

OCCITANIE: Le CHU de Nîmes a rénové la salle de régulation des appels du Samu

NIMES - Après cinq semaines de travaux, le centre de réception et de régulation des appels (CRRA) du CHU de Nîmes a été réhabilité, a fait savoir lundi l'établissement sur son site internet.

Cet espace "vieillissant […] nécessitait des travaux de modernisation, une restructuration de l'espace et une mise à jour des outils de travail", est-il expliqué.

Neuf assistants de régulation médicale (ARM), deux opérateurs de soins non programmés (OSNP) et les quatre médecins régulateurs travaillent au sein de ce centre. Ils répondent à 1.000 appels quotidiens, voire 1.400 "le week-end, les jours fériés, au mois d'août et en fin d'année".

Dans un premier temps, ces travaux ont permis l'installation du service d'accès aux soins (SAS) au sein du CRRA. L'objectif est de "permettre au patient d'accéder à distance à un médecin généraliste lorsqu'il ne peut consulter son médecin traitant", a fait valoir le CHU.

Le nouvel espace, aménagé en trois zones, respecte le processus que suit chaque appel, est-il expliqué. La première zone correspond au CRRA qui réceptionne les appels 15. Un ARM va ensuite être orienté vers la zone du Samu, en cas d'urgence vitale, ou bien vers la filière ambulatoire.

"Cette organisation est complétée par une salle réservée aux gestions de crise dans le cadre des situations sanitaires exceptionnelles", est-il ajouté. Cette salle "est recouverte d'une peinture qui permet d'écrire sur les murs, ce qui est indispensable en situation de crise", est-il mis en avant.

De nouveaux équipements ont par ailleurs été acquis, comme des bureaux à hauteur réglable.

Financés par le CHU et par l'agence régionale de santé (ARS) Occitanie, le fonctionnement du CRRA n'a pas été impacté pendant la période des travaux, le service ayant déménagé durant cette période au sein de l'institut de formation aux métiers de la santé (IFMS).

OCCITANIE: L'Institut du cancer de Montpellier inaugure son IRM 3 Tesla

MONTPELLIER - L'Institut du cancer de Montpellier (ICM) a inauguré mercredi son nouvel appareil d'IRM 3 Tesla, a-t-il fait savoir dans un communiqué.

Le nouvel IRM Vida* (Siemens Healthineers) vient compléter l'IRM 1,5 Tesla déjà en fonction au sein de l'ICM. S'il a été inauguré mercredi, il a en réalité été mis en service dès février.

"Cet équipement de dernière génération […] va permettre d'améliorer le diagnostic des cancers, d'ouvrir de nouvelles perspectives de traitement en radiothérapie et d'accélérer un projet de recherche ambitieux sur la digitalisation des cancers", a estimé l'institut.

Le nouvel IRM utilise un champ magnétique "plus puissant" qui permet d'offrir "une meilleure résolution d'image et une acquisition plus rapide des données", est-il expliqué.

Cet équipement donnera également la possibilité à l'ICM d'accueillir une quarantaine de patients par jour, accélérant la prise en charge et réduisant les délais de rendez-vous. Il améliore également le confort des patients, "l'examen étant d'une plus courte durée", est-il souligné.

"L'IRM 3 Tesla révolutionne également la prise en charge au sein du département de radiothérapie dirigé par le Pr David Azria en permettant -prochainement- un parcours de soins 'IRM-only' pour les patients traités sur le MRIDian", a par ailleurs pointé l'ICM.

"Au sein du département de radiothérapie, nous développons les conditions de prise en charge des tumeurs mobiles et complexes par de l'adaptatif. L'IRM 3T complète notre arsenal en radiothérapie et nous permet d'améliorer le repérage, le ciblage et la définition des volumes cibles", a précisé le Dr Olivier Riou, médecin radiothérapeute, cité dans le communiqué.

L'appareil servira aussi de "plateforme de recherche de pointe", a relevé l'institut montpelliérain. Il doit permettre à l'ICM de développer de nouvelles séquences d'imagerie pour affiner la compréhension des réponses aux traitements, pour étudier l'hypoxie tumorale et la vascularisation des tumeurs, "des facteurs clés dans la réponse à la chimiothérapie et à la radiothérapie".

Cette acquisition représente un investissement de près de 2 millions d'euros, financé par l'ICM, le groupe de médecins radiologues Centre de radiologie et de physiothérapie ainsi que l'agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

ILE-DE-FRANCE: L'Hôpital Foch utilise un robot pour transporter les endoscopes entre le bloc et l'unité de traitement

SURESNES (Hauts-de-Seine) - L’Hôpital Foch (Suresnes) a testé à partir de mi-mars un robot, imaginé par la start-up Lifelines, pour transporter des endoscopes entre le bloc d'endoscopie digestive et l'unité de traitement des endoscopes (UTE), séparés par trois étages, et utilise la version finalisée depuis fin avril, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

Ce robot, qui "vient se positionner en complément des trois agents qui effectuaient cet acheminement tous les jours", vise à "faire face aux contraintes de recrutement", augmenter le temps soignant, mais aussi "optimiser le temps logistique et la traçabilité des acheminements de matériel", observe l'établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic).

Le choix de mettre en place un robot autonome "résulte d’un constat établi depuis plusieurs années: le transport des endoscopes, toutes les 30 minutes, entre le bloc opératoire d’endoscopie digestive et l'UTE, mobilise du personnel, personnel sur lequel on a aujourd’hui de grandes difficultés de recrutement", explique Vincent Carte-Jacquesson, responsable biomédical et porteur du projet, cité dans le communiqué.

Les agents "continuent, pour une partie, ce travail, mais peuvent également monter en compétence sur d’autres tâches", observe-t-il. Cela permet également d'avoir "davantage de visibilité sur les trajets effectués dans une logique de traçabilité et de qualité".

Le robot, "silencieux et d’aspect presque ludique, avec un badge et/ou un écran pour débloquer chaque casier", est autonome, "évolue dans les couloirs de l’hôpital ainsi que dans les ascenseurs aux côtés des patients", contourne les obstacles et effectue des rotations entre le bloc d'endoscopie digestive et l’UTE. Il est équipé de capteurs à ultrasons, de deux Lidars (système de télédétection par laser) et de deux caméras 3D "pour détecter les mouvements, analyser l’environnement et adapter sa trajectoire ainsi que sa vitesse (qui est paramétrée pour ne pas dépasser un niveau trop important)".

Après avoir testé le robot pendant près d'un mois et formé trois cadres de santé, la version finalisée est utilisée depuis fin avril. Le robot se positionne toutes les 20 minutes devant l'UTE (étage -3) pour récupérer les endoscopes propres, les monter au bloc d'endoscopie digestive (étage -1), y récupérer les endoscopes sales et les redescendre à l'UTE. Une borne connectée, lumineuse et sonore, informe le personnel de son arrivée pour déposer ou récupérer les endoscopes.

Le robot est paramétré sur des horaires journaliers habituels (9h-19h) mais "pourra, à terme, effectuer des tâches lors des horaires 'masqués' ou pendant la nuit", note l'Hôpital Foch, indiquant qu'il attend un gain de 20 minutes par jour par professionnel de santé concerné. La direction prévoit de le déployer aux autres services d’endoscopie et envisage aussi "d’autres missions dans le secteur logistique et pharmaceutique".

/mlb-mg-cb/ab/APMnews

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Le 16 mai 2024 (APMnews) -

ILE-DE-FRANCE: Frédéric Brocard nommé directeur de l'Hôpital privé d'Evry

EVRY - Frédéric Brocard a été nommé directeur de l'hôpital privé d'Evry, a annoncé mardi le groupe Almaviva Santé dans un communiqué.

Il était entré en 2021 chez Almaviva Santé comme directeur des opérations de la Clinique Turin et a pris ses nouvelles fonctions comme directeur de l'Hôpital privé d'Evry en avril 2024.

Frédéric Brocard "travaille depuis presque 30 ans dans le secteur de la santé", souligne le groupe. En 1995, il a été affecté à l'administration de l'hôpital d'instruction des armées du Val-de-Grâce (Paris Ve) et est devenu en 1997 attaché de direction à la clinique Arago (Paris XIVe).

Puis il a été successivement attaché de direction et responsable administratif chargé de projets transversaux (parcours patients, projets innovants, digitalisation, offre hôtelière, implémentation de nouvelles technologies, …) pour "différents groupes de santé parisiens", selon le communiqué.

Il succède à Melvina Jabert (cf dépêche du 22/10/2019 à 15:09), devenue en mars directrice déléguée aux opérations au sein du groupe Elsan, selon son profil LinkedIn.

L'Hôpital privé d'Evry est composé de la clinique de l'Essonne et du centre de rééducation fonctionnelle Champs Elysées.

OCCITANIE: Le CHU de Nîmes a rénové la salle de régulation des appels du Samu

NIMES - Après cinq semaines de travaux, le centre de réception et de régulation des appels (CRRA) du CHU de Nîmes a été réhabilité, a fait savoir lundi l'établissement sur son site internet.

Cet espace "vieillissant […] nécessitait des travaux de modernisation, une restructuration de l'espace et une mise à jour des outils de travail", est-il expliqué.

Neuf assistants de régulation médicale (ARM), deux opérateurs de soins non programmés (OSNP) et les quatre médecins régulateurs travaillent au sein de ce centre. Ils répondent à 1.000 appels quotidiens, voire 1.400 "le week-end, les jours fériés, au mois d'août et en fin d'année".

Dans un premier temps, ces travaux ont permis l'installation du service d'accès aux soins (SAS) au sein du CRRA. L'objectif est de "permettre au patient d'accéder à distance à un médecin généraliste lorsqu'il ne peut consulter son médecin traitant", a fait valoir le CHU.

Le nouvel espace, aménagé en trois zones, respecte le processus que suit chaque appel, est-il expliqué. La première zone correspond au CRRA qui réceptionne les appels 15. Un ARM va ensuite être orienté vers la zone du Samu, en cas d'urgence vitale, ou bien vers la filière ambulatoire.

"Cette organisation est complétée par une salle réservée aux gestions de crise dans le cadre des situations sanitaires exceptionnelles", est-il ajouté. Cette salle "est recouverte d'une peinture qui permet d'écrire sur les murs, ce qui est indispensable en situation de crise", est-il mis en avant.

De nouveaux équipements ont par ailleurs été acquis, comme des bureaux à hauteur réglable.

Financés par le CHU et par l'agence régionale de santé (ARS) Occitanie, le fonctionnement du CRRA n'a pas été impacté pendant la période des travaux, le service ayant déménagé durant cette période au sein de l'institut de formation aux métiers de la santé (IFMS).

OCCITANIE: L'Institut du cancer de Montpellier inaugure son IRM 3 Tesla

MONTPELLIER - L'Institut du cancer de Montpellier (ICM) a inauguré mercredi son nouvel appareil d'IRM 3 Tesla, a-t-il fait savoir dans un communiqué.

Le nouvel IRM Vida* (Siemens Healthineers) vient compléter l'IRM 1,5 Tesla déjà en fonction au sein de l'ICM. S'il a été inauguré mercredi, il a en réalité été mis en service dès février.

"Cet équipement de dernière génération […] va permettre d'améliorer le diagnostic des cancers, d'ouvrir de nouvelles perspectives de traitement en radiothérapie et d'accélérer un projet de recherche ambitieux sur la digitalisation des cancers", a estimé l'institut.

Le nouvel IRM utilise un champ magnétique "plus puissant" qui permet d'offrir "une meilleure résolution d'image et une acquisition plus rapide des données", est-il expliqué.

Cet équipement donnera également la possibilité à l'ICM d'accueillir une quarantaine de patients par jour, accélérant la prise en charge et réduisant les délais de rendez-vous. Il améliore également le confort des patients, "l'examen étant d'une plus courte durée", est-il souligné.

"L'IRM 3 Tesla révolutionne également la prise en charge au sein du département de radiothérapie dirigé par le Pr David Azria en permettant -prochainement- un parcours de soins 'IRM-only' pour les patients traités sur le MRIDian", a par ailleurs pointé l'ICM.

"Au sein du département de radiothérapie, nous développons les conditions de prise en charge des tumeurs mobiles et complexes par de l'adaptatif. L'IRM 3T complète notre arsenal en radiothérapie et nous permet d'améliorer le repérage, le ciblage et la définition des volumes cibles", a précisé le Dr Olivier Riou, médecin radiothérapeute, cité dans le communiqué.

L'appareil servira aussi de "plateforme de recherche de pointe", a relevé l'institut montpelliérain. Il doit permettre à l'ICM de développer de nouvelles séquences d'imagerie pour affiner la compréhension des réponses aux traitements, pour étudier l'hypoxie tumorale et la vascularisation des tumeurs, "des facteurs clés dans la réponse à la chimiothérapie et à la radiothérapie".

Cette acquisition représente un investissement de près de 2 millions d'euros, financé par l'ICM, le groupe de médecins radiologues Centre de radiologie et de physiothérapie ainsi que l'agence régionale de santé (ARS) Occitanie.

ILE-DE-FRANCE: L'Hôpital Foch utilise un robot pour transporter les endoscopes entre le bloc et l'unité de traitement

SURESNES (Hauts-de-Seine) - L’Hôpital Foch (Suresnes) a testé à partir de mi-mars un robot, imaginé par la start-up Lifelines, pour transporter des endoscopes entre le bloc d'endoscopie digestive et l'unité de traitement des endoscopes (UTE), séparés par trois étages, et utilise la version finalisée depuis fin avril, a-t-il annoncé jeudi dans un communiqué.

Ce robot, qui "vient se positionner en complément des trois agents qui effectuaient cet acheminement tous les jours", vise à "faire face aux contraintes de recrutement", augmenter le temps soignant, mais aussi "optimiser le temps logistique et la traçabilité des acheminements de matériel", observe l'établissement de santé privé d'intérêt collectif (Espic).

Le choix de mettre en place un robot autonome "résulte d’un constat établi depuis plusieurs années: le transport des endoscopes, toutes les 30 minutes, entre le bloc opératoire d’endoscopie digestive et l'UTE, mobilise du personnel, personnel sur lequel on a aujourd’hui de grandes difficultés de recrutement", explique Vincent Carte-Jacquesson, responsable biomédical et porteur du projet, cité dans le communiqué.

Les agents "continuent, pour une partie, ce travail, mais peuvent également monter en compétence sur d’autres tâches", observe-t-il. Cela permet également d'avoir "davantage de visibilité sur les trajets effectués dans une logique de traçabilité et de qualité".

Le robot, "silencieux et d’aspect presque ludique, avec un badge et/ou un écran pour débloquer chaque casier", est autonome, "évolue dans les couloirs de l’hôpital ainsi que dans les ascenseurs aux côtés des patients", contourne les obstacles et effectue des rotations entre le bloc d'endoscopie digestive et l’UTE. Il est équipé de capteurs à ultrasons, de deux Lidars (système de télédétection par laser) et de deux caméras 3D "pour détecter les mouvements, analyser l’environnement et adapter sa trajectoire ainsi que sa vitesse (qui est paramétrée pour ne pas dépasser un niveau trop important)".

Après avoir testé le robot pendant près d'un mois et formé trois cadres de santé, la version finalisée est utilisée depuis fin avril. Le robot se positionne toutes les 20 minutes devant l'UTE (étage -3) pour récupérer les endoscopes propres, les monter au bloc d'endoscopie digestive (étage -1), y récupérer les endoscopes sales et les redescendre à l'UTE. Une borne connectée, lumineuse et sonore, informe le personnel de son arrivée pour déposer ou récupérer les endoscopes.

Le robot est paramétré sur des horaires journaliers habituels (9h-19h) mais "pourra, à terme, effectuer des tâches lors des horaires 'masqués' ou pendant la nuit", note l'Hôpital Foch, indiquant qu'il attend un gain de 20 minutes par jour par professionnel de santé concerné. La direction prévoit de le déployer aux autres services d’endoscopie et envisage aussi "d’autres missions dans le secteur logistique et pharmaceutique".

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